Affolement prosaïque ou feu follet stoïque
Et vent, toujours.
Malgré la verdoyance du jour,
(Empreinte aride de la terre),
La mer mouvante tarie de sable,
Face à ce soleil qui enterre
Et aux dunes qui brûlent
Une peau nue coupable
Noire comme le ciel :
Mère des chimères à la corne brisée,
Chronique d’un firmament famélique
Mais absence, jamais.
Flamme dans l’œil des volcans doux cyclone de lave.